Votre flood bernic vous a concocté un nouveau jeu en ce beau début d'hiver. Puisqu'Halloween arrive bientôt, il semblait approrié de lancer un cadavre exquis. Mais qu'est-ce donc? Explication en trois mots par Edouar Cabanel, spécialiste des choses mortes depuis longtemps.

"Eh bien voyez-vous ma chère, un cadavre exquis, c'est un peu comme une statuette égyptienne. Tiens parlant de statuette égyptienne, saviez-vous que..."
*bruit de micro qui se coupe*
Merci Monsieur l'Ambassadeur! Je prend la suite. Le principe du cadavre exquis est assez simple : nous donnons une situation de départ, en quelques phrases. Le prochain joueur doit repartir de ces quelques phrases et écrire la suite, en trois-quatre phrases également. Le suivant reprend ainsi les deux morceaux déjà écrits et invente la suite, etc.
Au final, nous avons un rp écrit à plusieurs mains. L'imagination est largement encouragée! Le but est d'obtenir quelque chose de fun, donc laissez-vous aller! Dans un vrai cadavre exquis, celui qui écrit n'est censé voir que l'écrit du joueur le précédant, mais ici ça semble techniquement difficile.
Néanmoins ce jeu peut devenir très intéressant si tout le monde participe, avec son style, ses idées, ses pulsions sadiques

L'idéal serait que notre cadavre ne soit pas monopolisé par deux ou trois joueurs seulement. Donc n'hésitez pas à participer et à encourager tous les membres à participer! Au bout d'un certain temps, l'une de vos berniques en chef se chargera de clôturer le cadavre et d'en lancer un nouveau.

J'espère que l'idée vous plaira, n'hésitez pas à me faire part de vos avis. Je suis également ouverte à toute proposition d'animation (oui je fais ma promo! ), MPottez moi si vous avez une idée.

BIEN!!! Commençons donc Et pour inaugurer ce jeu, je vous propose de torturer faire vivre d'incroyables aventures à notre Gerhardt Lengefeld national! Il a donné son autorisation expresse bien entendu, personne ne sera envoyé en prison pour avoir participé. Vous pouvez également faire intervenir d'autres personnages, tant que vous faites preuve de respect évidemment.

Ce matin-là, Gerhardt Lengefeld se réveilla de mauvaise humeur. Comme tous les jours. Il ne déjeuna pas -perte de temps-, s'habilla et se dirigea prestement à pied vers son bureau du Palais Bourbon. Dès son arrivée, sa secrétaire l'interpella.
"Herr Lengefeld! C'est urgent!"
"Quoi encore? Dépêchez-vous."

A vous d'inventer la suite. Vous n'avez simplement pas le droit de faire mourir ce pauvre Gerhardt. Le reste est autorisé, dans les limites du respect de la personne