| | (M) Ricky Wilson, fils, ami, allemand, résistant, il y a de quoi faire | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: (M) Ricky Wilson, fils, ami, allemand, résistant, il y a de quoi faire Mer 12 Nov - 14:38 | |
| Hasko Landgraf (Ricky Wilson) Âge : 30 ans ; Nationalité : Allemand ; Statut : Libre, autrefois fiancé ; Profession : Hauptmann dans la Wehrmacht, plus précisément Stabsarzt à l’hôpital de la Salpêtrière – comprenez chirurgien militaire. Laissez-moi vous conter mon histoire: L'histoire est globalement laissée libre, vous devez simplement respecter les éléments suivants : -Hasko est né en 1913 à Berlin de Theo Landgraf et de Isold Unterfall -c'est un enfant curieux, doué, souriant, bagarreur, hyperactif et un peu insolent, mais aussi très protecteur envers ses frères et sœurs. Il ne se distingue pas vraiment à l'école, sinon pour sa manie de ne pas se présenter en cours -dans les premières années de sa vie, il voit peu son père, qui participe à la Première Guerre Mondiale -1916 : Naissance de son frère Oswald -1918 : Fin de la guerre. La famille Landgraf déménage à Munich -1920 : Naissance de sa sœur Béatrice -1926 : Naissance de sa sœur Edeldraut -1928 : Hasko rencontre Rebecca Haldenblum. Ils tombent amoureux et projettent de se fiancer à la fin des études du jeune homme. Ils fréquentent les mêmes milieux, un peu révolutionnaires, un peu socialistes, un peu communistes, toujours révoltés et généralement de gauche. -1929 : Anton Landgraf, l'oncle de Hasko, ministre de l’Économie socialiste de la république de Weimar, est assassiné. Le père de Hasko, Theo, juge qu'il a été tué par ceux que le NSDAP désigne comme ennemis de l'Allemagne et adhère au parti nazi. -1930 : Hasko s'enfuit de chez ses parents pour étudier la médecine en France, promettant de revenir pour épouser Rebecca -1933 : c'est la conférence de Wansee. Rebecca est arrêtée. Convaincu qu'il peut faire quelque chose, Hasko revient en Allemagne : sans succès. Il intègre alors une alors une école militaire, fataliste et pessimiste sur l'avenir, tout en tentant d'avertir des amis en France du péril qui se profile à cause d'Hitler. Bénévole à la croix rouge, anti-nazi convaincu, il n'a pas pourtant pas le choix et doit intégrer l'armée. -1937 : Il obtient son doctorat de médecine. -1938 : envoyé participer à l'Anschluss et à la campagne des Sudètes, cela n'empêchera pas Hasko de haïr les nazis ; décidé à résister, il profite de sa situation de médecin pour évacuer et aider les populations locales, fournissant de faux papiers à des ennemis du nazisme, opposants politiques ou juifs, par ailleurs. -1939-1942: Stationné à Varsovie, il aidera de nombreuses personnes dans le Ghetto avant que son activité ne commence à être soupçonnée. Sans preuve, c'est finalement son insolence qui lui vaut d'être expédié sur le front de l'Est pour insubordination, Hasko n'a pas réellement le choix que de combattre et de soigner les soldats du Führer. Il n'a cependant rien contre la majorité des hommes qu'il croise, tout aussi contraints que lui d'être là et déploie des trésors de bravoure – et beaucoup diront avec raison d'inconscience – pour en sauver certains, ce qui lui coûtera son œil gauche au cours d'affrontements à Stalingrad. Il est alors nommé à Paris où il dirige – car entre-temps, on l'a promu capitaine – le service de chirurgie à l’Hôpital de la Salpêtrière. Depuis la fin 1942 : aujourd'hui bien installé à Paris, Hasko fait partie du réseau Reigen. En tant que médecin, il a parfois contribué non pas à tuer, mais à empirer l'état de certains officiers importants allemands. Il délivre également de faux-certificats médicaux – et parfois de faux passeports, ayant développé un certain talent de faussaire au passage.
Laissez-moi vous présenter mes connaissances
- Spoiler:
| Theo Landgraf:
Theo est le père de Hasko, mais cela ne veut pas dire pour autant que leur relation est au beau fixe, ce serait même plutôt le contraire en réalité. En effet, leur affrontement a commencé par le fait qu'ils n'avaient pas réellement la même conception de vie : Theo a toujours jugé que son fils n'avait pas assez d'ambition, Hasko n'a jamais aimé le caractère trop frivole et cynique de son père. Mais cela n'avait rien de commun avec ce qui allait se passer ensuite : à la suite de la mort de son grand-oncle, Hasko a vu son père devenir de plus en plus anti-sémite et ses fiançailles avec une jeune fille de confession juive ont semblé impossibles à son père. Les confrontations furent violentes et elles ont abouti au départ du jeune homme du foyer. Ils se sont brièvement vu à son retour de France en 1933, mais Hasko méprise son père, il ne veut rien avoir à faire avec lui, et bien qu'ils soient tous les deux membres de la même armée, ils n'ont plus aucun contact. Voire même ils s'évitent depuis qu'ils sont à Paris |
| Morris von Lorentz:
Ces deux là se connaissent bien : ils ont eu les mêmes fréquentations, croient à peu près en la même chose. Quand Morris a eu des déboires avec les SS à Berlin, c'est encore Hasko qui l'a soigné. Il sait aussi que le pianiste à quelques problèmes et qu'il n'est pas bien vu par les autorités françaises et allemandes à Paris. Mais comment le convaincre d'arrêter de jouer du jazz sans être lié directement à lui ? Car Hasko doit lui aussi préserver sa couverture pour ne pas être suspecté par les allemands... |
| Gustav Selbst :
Hasko et Gustav se connaissent de longue date. Ils étaient ensemble à l'école militaire à Berlin. Pas dans la même branche puisque le premier étudiait la médecine militaire et le second voulait devenir pilote. Au départ, chacun est un peu resté sur ses gardes, mais ils ont fini par s'apprécier et une véritable amitié s'est nouée entre eux. Ils ont toujours plus ou moins gardé le contact, même lorsque Hasko était sur le front de l'Est et finalement, à force de se parler et de correspondre, lorsque Hasko est venu à Paris, il lui a avoué ce qu'il avait fait en Pologne : à savoir aider des ennemis des nazis. Alors sur que son ami partageait les mêmes convictions que lui, Gustav a fait entrer Hasko dans la résistance allemande via les contacts qu'il y a. Ce dernier a peu à peu retrouvé un peu d'espoir grâce à Reigen, et il est véritablement reconnaissant à son ami de l'avoir aidé. |
| Edwin Grüper :
Lorsque Hasko a été envoyé sur le front Est pour cause d'insubordination, il s'est retrouvé dans l'unité d'Edwin Grüper. Autant dire que le courant n'est pas réellement passé entre les deux hommes au départ : entre le patriote convaincu du bien fondé du nazisme qu'est Edwin et le médecin insolent, à la limite de la trahison officiellement, résistant officieusement, il ne pouvait que surgir des étincelles et de la méfiance de la part de l'officier supérieur de Hasko. Cela n'a jamais empêché Landgraf de croire à ses convictions, mais il a fini par éprouvé du respect envers cet homme qui s'acharnait si fort à défendre ses idées et qui n'était pas du tout sans bravoure. Sans doute est-ce pour cela que lors d'un affrontement avec les russes, alors qu'Edwin était dans une situation difficile, Hasko a tenté de le sauver – sans compter qu'en tant que médecin, il répugne à laisser mourir quelqu'un devant lui sans rien faire, en bon courageux un peu inconscient qu'il est – et qu'il y a laissé son œil. Globalement, il apprécie Edwin : il éprouve même un peu de culpabilité à tenter de détruire ce en quoi l'officier croit, car finalement, un certain respect s'est installé entre eux. |
| Edouard Cabanel :
Ces messieurs les députés Cabanel et Landgraf, en bons politiques cultivant leurs relations diplomatiques, se sont beaucoup fréquentés : finalement, il était assez logique et attendu que leurs enfants sympathisent. Hasko connaît assez bien les frères Cabanel, même s'il a toujours été un peu plus proche de Maxime que d'Edouard – question d'âge, sans aucun doute – et lorsqu'il est partit d'Allemagne pour faire ses études, il a habité un temps avec eux. Il a sympathisé un peu avec Edouard : assez pour essayer d'avertir celui-ci, lancé dans la politique, de ce qu'il se passait en Allemagne et à quel point cela pouvait dériver. Mais en réalité, Cabanel n'a jamais utilisé ses informations : Landgraf n'a guère supporté de se faire ignorer ainsi à cause d'un tel...arrivisme politique, quelque chose qu'il a appris rapidement à mépriser. Il gardait donc une certaine rancune au conseiller de l'ambassadeur de Vichy, mais sans plus : mais, maintenant qu'il est à Paris, le médecin a appris que Edouard Cabanel soutenait le régime de Vichy et qu'il travaillait avec les collaborateurs : une raison de plus de le mépriser, voire de le détester, sans compter qu'en plus, Cabanel n'est même pas capable de faire libérer son frère, prisonnier de guerre en Allemagne. Quel genre d'homme abandonne ainsi sa famille ? Hasko a donc toutes les raisons de se méfier de cet homme qu'il prend pour un allié de ses ennemis. Seul problème : la méfiance est réciproque, puisque Cabanel condamne totalement le ralliement apparent de Landgraf aux nazis... |
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| Sujet: Re: (M) Ricky Wilson, fils, ami, allemand, résistant, il y a de quoi faire Mer 12 Nov - 15:03 | |
| Bonjour à toi qui lit mon scenario de bon matin (ou de bon après-midi, ou de bon soir *sort*) ! Tout d'abord, merci de t'intéresser à Hasko C'est réellement un personnage important pour mes persos, que ce soit pour Morris qui est bien parti dans ses histoires de jazz et que Hasko essaye de rendre raisonnable ou avec Theo parce que vraiment, il a besoin de ce fils là pour l'embêter ! Et puis avouez, vous aimez les relations familiales compliquées (puis Theo, a l'avatar du Docteur. Et vous ne pouvez pas dire non au Docteur ) ! Sans parler de tous les autres liens qu'a le scenario : croyez moi, tous les joueurs vous attendent avec impatience. Et je n'évoquerais même pas les possibilités multiples de liens avec tous les autres membres du réseau Reigen, sans parler des liens compliqués et tordus que vous pouvez créer avec les Forces d'Occupation et les Autorités françaises vu le double-jeu que joue Hasko Sinon, parlons détails pratiques : même si j'aime beaucoup le prénom, il est négociable pour un autre prénom à consonance germanique. De même pour l'avatar, pas forcément très connu, parfaitement négociable pour une célébrité du même genre (même si en fait, je l'avoue, j'aime beaucoup Ricky Wilson, mais proposez toujours, je m'adapterais, l'essentiel, c'est que le perso vous plaise), et pour l'histoire : elle est globalement laissée libre, et les points sont négociables. En revanche, les liens ne le sont pas, pour des raisons évidentes, comme le nom de famille Pour le métier, je sais que toutes ces notions de grades dans la Wehrmacht c'est pas forcément facile, mais je peux vous aider, j'ai fait quelques recherches là dessus, pas de panique, donc ! Voilà voilà ! Je vous remercie d'avance pour votre lecture, et puis vraiment PRENEZ LE, je vous vouerais un culte éternel et je vous promets des rps de folie (PS : pour les membres qui voudraient un lien avec ce scenario, n'hésitez pas à me mp, je vous rajouterais bien volontiers ) |
| | | Hasko Landgraf
■ topics : OUVERTS ■ mes posts : 287 ■ avatar : Volker Bruch ■ profession : Médecin, chef du service chirurgie (Stabsarzt) à l’hôpital de la Salpêtrière, Hauptmann dans la Wehrmacht PAPIERS !■ religion: Protestant■ situation amoureuse: Célibataire, une fois fiancé■ avis à la population:
| Sujet: Re: (M) Ricky Wilson, fils, ami, allemand, résistant, il y a de quoi faire Lun 17 Nov - 14:15 | |
| Me voilààààà ! (enfin tu le savais, mais j'aime frimer avec mes DC XD) |
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| Sujet: Re: (M) Ricky Wilson, fils, ami, allemand, résistant, il y a de quoi faire | |
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| | | | (M) Ricky Wilson, fils, ami, allemand, résistant, il y a de quoi faire | |
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